Pour vous familiariser avec certains aspects de l'histoire irlandaise de la période 1870-1914, tout en vous détendant, pourquoi pas regarder cette série (fiction) dont l'action a lieu à Dublin en 1913?
The title of the series is Strumpet City, and here is episode one. The other episodes can be found on youtube.
https://www.youtube.com/watch?v=GF0TJ1EMT5g
Links and comments for university students of English, and of British Studies and British history. Study links connected with my classes, and general links on current affairs etc. There are sometimes indications as to what group might be particularly interested (L2 for Licence 2nd year, for example)
...
Saturday, June 30, 2018
Monday, June 18, 2018
Agrégation civilisation britannique
As you know the new theme for the agrégation is Home Rule. Start by knowing the background and events very well indeed, then you will find it easy to move onto questions of historiography and interpretation.
This year Mme Vaughan will be giving the lectures from November. I will be giving complementary classes next March for the agrégation interne ( but externe people may come).
I’m starting with every documentary I can find. This one for example https://m.youtube.com/watch?v=IuqyY6nxBOM&index=2&list=PLmDLV-EiXI_smNuyJxwlPArsCuQ-LX61N&t=0s#fauxfullscreen
The other four parts of this documentary are easy to find on YouTube.
Or if you want to get a feel of one important aspect of life in Ireland by reading a novel on the beach this summer, you could try this one
https://www.amazon.fr/Strumpet-City-One-Book/dp/0717156109/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1529349780&sr=8-1&keywords=Strumpet+city
This year Mme Vaughan will be giving the lectures from November. I will be giving complementary classes next March for the agrégation interne ( but externe people may come).
I’m starting with every documentary I can find. This one for example https://m.youtube.com/watch?v=IuqyY6nxBOM&index=2&list=PLmDLV-EiXI_smNuyJxwlPArsCuQ-LX61N&t=0s#fauxfullscreen
The other four parts of this documentary are easy to find on YouTube.
Or if you want to get a feel of one important aspect of life in Ireland by reading a novel on the beach this summer, you could try this one
https://www.amazon.fr/Strumpet-City-One-Book/dp/0717156109/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1529349780&sr=8-1&keywords=Strumpet+city
Wednesday, June 13, 2018
Appel à propositions
Colloque: Comment la chanson populaire communique-t-elle ?
Université de Rouen,
Equipe ERIAC
15 et 16 novembre
2018
En collaboration avec
l’International Association for the Study of Popular Music, branche francophone
d’Europe.
Parmi les questions
les plus fructueuses posées par la recherche en musique populaire, on trouve
des questions en apparence extrêmement simples. « Pourquoi les chansons
ont-elles des paroles ?» demandait Simon Frith (Frith 2009), et dans un
autre article influent, « Pourquoi la musique énerve-t-elle autant les
gens ?» (Frith 2008). Le présent colloque voudrait explorer la question suivante :
« Comment la chanson populaire communique-t-elle » Toutes les
approches sont les bienvenues, et les propositions peuvent être basées sur
toute aire linguistique et toute période historique. Les éléments expliqués
ci-dessous ne sont à prendre que comme des orientations possibles.
Stéphane Hirschi (Hirschi
2001) a présenté le chanteur/artiste comme composé de trois éléments différents
apparents : L’artiste, son personnage-sur-scène et le « canteur »
ou narrateur de la chanson spécifique. Dans une chanson, le narrateur ne
possède pas seulement un point de vue, un positionnement, un style d’écriture,
mais aussi (au moins) une qualité de voix, une diction, et une musique qui
l’accompagne. Chacun des trois éléments artiste/personnage/narrateur peut être
visible en même temps, en palimpseste, et ils peuvent se trouver en harmonie ou
en tension créative. Ils entrent tous dans le processus de communication.
Philip Tagg (2012, chapitre
6) se plaint de ce que l’étude de la chanson populaire n’ait pas suffisamment
pris en compte la situation de celui ou celle qui « écoute », se limitant
souvent à une étude des mécanismes de création. La question posée dans ce
colloque peut permettre de combler partiellement cette lacune. Chacun des éléments
de la triade de Hirschi peut donner lieu à des phénomènes d’identification ou
de participation de la part du public.
Alan Moore (2012,
chapitre 7) traite des différents positionnements que peut choisir l’auditeur en
rapport avec le récit qui se déploie dans la chanson. L’organisateur du présent
colloque a développé l’idée de la chanson populaire comme « théâtre
participatif » où l’activité de l’auditeur (qui peut devenir
« co-chanteur » et « co-narrateur ») lui permet de jouer, pendant
quelques minutes, un rôle peu présent dans sa vie par ailleurs (Mullen 2017).
Tout comme le ou les
narrateurs dans certains poèmes modernistes (pensez à La Terre Vaine de T.S.
Eliot), un narrateur dans une chanson peut être mouvant ou multiple. Les
deux narrateurs de « Don’t You Want Me, Baby » de The Human League ou
le narrateur changeant dans « Peggy Sue » analysée par Bradby et
Torode (1984) permettent de présenter des histoires émotionnelles complexes.
Les différents genres
musicaux ont souvent un narrateur typique ou classique. Le cow-boy sardonique
d’une partie de la production country, la voix du loser dans les chansons punks,
le poète philosophe du rock progressif ou le jeune homme confiant et dragueur
du rock n roll ... À quel point de tels narrateurs sont-ils obligatoires pour
un genre musical donné ? Ces contraintes de genre peuvent-elles être contournées
? (Voir le narrateur cowboy homosexuel de Magnetic Fields dans « Papa was
a Rodeo »)
Les narrateurs peuvent être collectifs. Les groupes musicaux peuvent-ils
être considérés comme constituant des narrateurs ? Il n'est pas rare que des groupes à la
longévité parfois impressionnante renouvellent une grande partie de leurs
membres, et pourtant leur public considère souvent qu'il s'agit du même groupe.
Comment la narration est-elle reçue par ses divers publics ? Les narrateurs
sont bien plus courants dans bien des genres de musique populaire que les
narratrices. Est-ce que les femmes reçoivent ces narrations de la même façon
que les hommes ?
Enfin, on peut travailler sur le rôle de la communication qui se met en
plus autour du produit vendu : le storytelling, le marketing et d’autres éléments
similaires.
De nombreuses questions peuvent surgir de ces situations de communication. Nous
n’avons indiqué ici que quelques-unes.
Propositions en 300 mots accompagnées d’une note biographique de 150 mots à
envoyer à john.mullen@univ-rouen.fr avant le 30 juillet 2018.
Bibliographie
indicative
Bradby, B., & Torode,
B. (1984), « Pity Peggy Sue », Popular Music, 4.
Frith, Simon (2004)
« Why Does Music Make People So Cross ? », Nordic Journal of Music Therapy, 13(1).
Frith, Simon (2009), « Why Do Songs Have Words ? », Contemporary Music
Review, 5:1.
Frith, Simon (2010)
« The Popular Music Industry » in Frith Simon, The Cambridge Companion to Pop and Rock, Cambridge University
Press.
Garofalo, R. (1994) , « Culture versus commerce:
the marketing of black popular music », Public Culture Vol.7 No.1
Hirschi,
Stéphane (2001), Les Frontières impossibles de la chanson,
Presses universitaires de Valenciennes
Lilliestam, Lars (2013), « Research
on music listening : From Typologies to Interviews with Real People », Volume
! 10.
Moore, Allan F. (2012), Song Means : Analysing and Interpreting
Recorded Popular Song, Farnham, Ashgate.
Mullen,
John (2017), « What Can Political Music do ? an Exploration Based on
the Example of the Tom Robinson Band 1976-1979 » in Forms Of Activism In The United Kingdom (Grassroots Activism, Culture,
Media), Revue française de civilisation britannique XXII – 3.
Tagg, Philip (2012)
Music’s Meanings, New York & Huddersfield : The Mass Media Music Scholars'
Press.
Saturday, June 09, 2018
Liverpool 1959
How did women do their washing, in Liverpool in 1959. You will be surprised. Watch this five minute documentary.
https://www.youtube.com/watch?v=cxpAVCan4CQ
https://www.youtube.com/watch?v=cxpAVCan4CQ
Subscribe to:
Posts (Atom)